RD Congo : La victoire écrasante de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo
La Commission électorale Nationale Indépendante(CENI) a proclamé le 31 décembre dernier les résultats provisoires pour l’élection présidentielle, organisée le 20 décembre 2023 en RD Congo. Retenez, sur les 26 candidats à la présidentielle, tous ont concourus comme compétiteurs pour gagner Un seul poste, celui du « Président de la République de la RD Congo ».
Le Président de la CENI M. Denis Kadima a rappelé que sur les 41 millions électeurs attendus, seulement 18 millions d’électeurs on participés au vote, soit un taux de participation de 18%, sur le 43% prévu. Le vainqueur réélu est candidat à sa propre succession, Félix Tshisekedi a obtenu plus de suffrage que d’autres candidats, avec 13 215 366 voix (73,34%). Le peuple congolais lui accorde encore la confiance, pour qu’il ait son deuxième mandat de 5 ans à la tête du pays. En effet, l’on notera que malgré les irrégularités enregistrés et constatés pendant l’organisation de ces élections par la CENI dirigé par Dénis Kadima, n’affectent pas « les résultats des urnes » de ces scrutins confirment la majorité des observateurs électoraux. Les 9 candidats malheureux à la présidentielle qui contestent et rejettent les résultats provisoires annoncés par la CENI, sont Moïse Katumbi, Martin Fayulu, Denis Mukwege, Matata Ponyo, Franck Diongo, Seth Kikuni, Theodore Ngoy … pour Martin Fayulu le peuple doit appliquer l’Article 64 de la Constitution de la RD Congo. Tenez, la contestation des résultats provisoires par certains candidats de l’Opposition est un droit démocratique et constitutionnel, normalement ces candidats perdants doivent saisir les instances appropriés quant à ce, notamment la Cour Constitutionnelle, les Cours et Tribunaux ou la Cour de cassation. A condition qu’ils fournissent aussi des preuves qui permettrons à ces instances d’établir s’il faut annuler les élections ou pas. Mais ce n’est pas chose facile, car les mêmes candidats de l’opposition ne sont pas unis, ni organisés et ne parlent pas un même langage. Ils étaient incapables de se choisir « un candidat unique » de l’opposition pour faire face au candidat de l’Union sacrée pour la Nation (USN), Félix Tshisekedi. Comment vont-ils s’organiser pour saisir la Cour Constitutionnelle, avec quelles données se demande l’opinion. Il est clair, que toutes leurs démarches qu’ils pourraient entreprendre seraient déjà vouées à l’échec et n’auront pas le résultat escompté à savoir l’annulation des élections du 20 décembre 2023dernier. L’on retiendra que l’opposition congolaise est en perte de vitesse, affaiblie depuis longtemps, par le régime au pouvoir qui est issu de la même opposition. Elle n’a pas les moyens d’actions sur le terrain. Le suffrage obtenu par Félix Tshisekedi prouve suffisamment comment l’opposition politique en RD Congo est essoufflée. L’opposition ne s’est pas bien préparée pour affronter le régime au pouvoir ou persuader les électeurs à adhérer à leur thèse. Par contre le Président de la République réélu a bien préparé sa victoire, par une campagne électorale imperturbable dans les 26 provinces. Il a obtenu l’appui de l’union Sacrée pour la Nation composée des poids lourds politique. Sans oublié l’apport incontournable de son parti politique, l’UDPS, qui est l’un des Partis politiques le mieux implanté sur toute la RD Congo, et dans les pays étrangers. Surtout, sans oublier son dernier speech électoral sur l’intégrité territorial de la RD Congo a fait que le peuple congolais en général soit flatté et partage son point de vue. L’on observe que c’est une victoire méritée et bien préparée, victoire du peuple congolais. D’ailleurs des réactions des congolais et congolaises ainsi que différentes personnalités montrent comment la victoire écrasante du Président réélu Félix Tshisekedi marque l’intérêt que le monde entier porte à la RD Congo et son peuple.
Directeur Général de l’Office Congolais de Contrôle, le Dr Etienne Tshimanga Mutombo, vient de renouer avec ses périples d’inspection dans les différentes directions provinciales de son office. Date de Publication : 21/3/2024
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