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A la FIKIN : Le DG de l’OCC M. Tabu Risasi a éclairé la lanterne de l’opinion


Le Directeur Général de l’Office Congolais de contrôle(OCC) M ; Tabu Risasi a eu des mots justes pour justifier la présence de cette entreprise lors de cette édition foraine 2018.
Pas besoin de rappeler que plusieurs intervenants sont passés sur le podium. Pour ce qui est de l’Office congolais de contrôle, le DG Tabu Risasi a été réellement à la hauteur  s’agissant de son intervention au cours de la Journée de l’OCC à la FIKIN Edition foraine 2018.
Le moins que l’on puisse dire à ce sujet est que le discours du numéro Un de l’OCC a été capté cinq sur cinq. Tabu Risasi a su rassurer et convaince ses interlocuteurs à travers son intervention axée sur « la valorisation de la production nationale par le respect des normes ».
Le discours du fils maison de l’OCC a suscité l’admiration de tout le monde.
Tout naturellement, l’orateur a commencé son exposé par remercier le Chef de l’Etat, avant de donner le plan de communication de son discours.
Il s’est agi de la valorisation de la production nationale, des mécanismes de normalisation normatif à la production ey l’exploitation, l’OCC et le guide de bonnes conduites à la fabrication des produits  congolais et enfin il y a eu quelques recommandations.
S’agissant des défis de la vulgarisation, le numéro one de l’OCC a tenu à rappeler que notre pays regorge d’immenses richesses naturelles inexploitées. Avant de rencherir que la RDC voudrait entrer dans le système commercial multilatéral, il faudrait prendre part à la chaine des valeurs internationales. C’est-à-dire, s’abstenir des vieilles habitudes de nos ancêtres qui ne pensaient pas à la transformation de leurs produits. En ce qui concerne les normes, le DG de l’OCC, M. Risasi Tabu a déclaré que les normes sont des exigences ou spécifications établies pour satisfaire aux attentes des parties engagées dans une transaction afin de répondre à un usage bien précis.
Suivant le Gide ISO 22004 la norme est un document établi par consensus et approuvé par un organisme reconnu formelles, informelles et des règlements techniques. Dans la pratique, les normes formellement exigées sont d’office obligatoire. Pour ce qui de la la mise en adéquation de la production nationale avec les nomes, le DG de l’OCC a déclaré que cette entreprise est un Etablissement public à caractère scientifique et technique dont l’objet social consiste à procéder à la certification, à l’élévation de la conformité, de la qualité et de la quantité.
C’est pour cela que cette entreprise est appelée au contrôle des produits fabriqués localement, le contrôle de qualité de tous les produits et marchandises manufacturés à l’importation et à l’exportation au niveau du Guichet unique, les essais ou analyses des échantillons des produits importés, le contrôle technique de tous les appareils et travaux, vérification et étalonnage de mesure, les contrôles techniques, etc.
L’on renseigne à ce sujet que toutes ces activités reposent sur la réafférence à des normes spécifiques. S’agissant des avantages de la production reposant sur les normes, le DG de l’OCC a souligné qu’il y a facilitation des échanges, réduction des coûts finaux, avantage compétitif, amélioration de la qualité, suppression des obstacles techniques non nécessaire au commerce, réduction des échecs et rejets potentiels, conformité avec les règlements techniques.
Pour les fonds normatifs et les profils des exportations, le DG a dit qu’en 2017 que la RD Congo a adopté 420 normes nationales. Le profil des exportations nationales traduit un faible niveau d’implantation d’une culture. S’agissant de la valorisation et de l’appui à l’exportation, Tabu Risasi  a dit que l’accès au marché étranger et tributaire de la conformité aux normes nationales des pays d’importation aux normes sous régionales et/ ou internationales.
C’est dans cette optique que l’OCC met à la disposition  des opérateurs économiques nationaux l’information nécessaire aux normes. Cette entreprise est également prête pour accompagner ceux qui en en désirent  dans la certification de leurs productions.
C’est le cas de l’eauen bouteille Hypo Psaro à Lubumbashi, du ciment CIMCO RDC, PPC berneth et CILU dans la province du Kongo central, des kits complets de lutte contre la trypanosomiase, etc.

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